TÉMOIGNAGES

Après le premier verre, je ne peux plus m’arrêter
« Peu importe d’où vous arrivez, peu importe pourquoi ; l’important, c’est que vous soyez ici. »
Claire sur France Bleue : l’alcool n’est pas une fatalité (1:59)
Chakir, alcoolique
« Je buvais pour étouffer une souffrance que je ne comprenais pas. »
Agnès sur La Radio Libre de Vivi : un alcoolisme très progressif (30:48)
« Oui, mais moi, ce n’est pas pareil ! »
Lorsque je buvais, personne ne pouvait me comprendre. Mes problèmes étaient les plus lourds, personne n’avait autant de souffrance morale que moi. Mon enfance, mon passé me faisaient mal et ma vie n’était qu’un ramassis d’incompréhensions, d’insatisfactions, de solitude.
Quinze ans d’alcoolisme et quatre cures
J’ai cherché la solution qui me permettrait de vivre comme tout le monde. J’ai pour cela effectué quatre cures. La dernière cure a été très différente. J’ai mis en place la fréquentation régulière des réunions AA,
Je suis né en 1981 à Rouen
Mon premier verre, je me le sers seul, un après-midi, chez mes parents. Un verre rempli du whisky de mon père, qui passe mal - j’ai quinze ans - mais que je bois quand même...
Avec les AA, je suis tombée amoureuse de la vie.