« Peu importe d’où vous arrivez, peu importe pourquoi ; l’important, c’est que vous soyez ici. »
TÉMOIGNAGES
« Je ne buvais plus pour être bien mais pour ne plus être mal. »
« Ce n’est pas ce qu’on boit, ni à quel moment, ni à quel endroit, ni avec qui, ni à quelle fréquence qui importe, c’est ce que le premier verre nous fait. »
Après le premier verre, je ne peux plus m’arrêter
« Je suis venu chez les AA pour arrêter de boire, j’y suis resté pour apprendre à vivre. »
Edith, 45 ans : une femme alcoolique
Je m’appelle Edith, j’ai 45 ans et je suis alcoolique, mais abstinente depuis le 4 novembre ; en fait, depuis le jour où ma route a croisé l’association des Alcooliques anonymes. Pourtant, dieu sait tout ce que j’avais pu faire pour tenter de devenir abstinente avant de les rencontrer.
Agnès sur La Radio Libre de Vivi : un alcoolisme très progressif (30:48)
Témoignage d’Anne – La liberté de ne plus boire – Langue des Signes Française
Le témoignage d’Anne est signé en langue des signes française par une intervenante spécialisée dans la surdité et des troubles associés, bénévole non membre AA.
Europe 1, novembre 2015 : je pensais que c’était impossible d’arrêter de boire, comme c’est impossible d’arrêter de respirer (1:18)
« Lorsqu’il me fallait un verre, je pouvais aller n’importe où. Je devrais donc être prêt à assister aux réunions pour me rétablir. »

