TÉMOIGNAGES

« Ce que j’ai à faire est simple, mais pas facile. »
« Lorsqu’il me fallait un verre, je pouvais aller n’importe où. Je devrais donc être prêt à assister aux réunions pour me rétablir. »
Personne ne t’oblige à ne pas boire
« Peu importe d’où vous arrivez, peu importe pourquoi ; l’important, c’est que vous soyez ici. »
« Je buvais pour étouffer une souffrance que je ne comprenais pas. »
« Oui, mais moi, ce n’est pas pareil ! »
Lorsque je buvais, personne ne pouvait me comprendre. Mes problèmes étaient les plus lourds, personne n’avait autant de souffrance morale que moi. Mon enfance, mon passé me faisaient mal et ma vie n’était qu’un ramassis d’incompréhensions, d’insatisfactions, de solitude.
« Ce n’est pas ce qu’on boit, ni à quel moment, ni à quel endroit, ni avec qui, ni à quelle fréquence qui importe, c’est ce que le premier verre nous fait. »
Je ne suis pas coupable de ma maladie mais je suis responsable de mon rétablissement
Je me sens libre de tous mes choix, parce ce que je suis devenue abstinente.
« Au début, ce n’était pas méchant, basé sur la convivialité »
Si j'ai commencé tôt, vers 14 ans, c'était un verre de temps en temps, en famille et avec les copains. Sauf que j'aimais ça ! J'aimais l'ivresse que l'alcool me procurait. Ca me rendait heureux.